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L'essence du WHIST : LA STRATEGIE
02/07/11 - 13:18
whistwhist
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Citation de Claudy le Hier à 23:54

Citation de whistwhist le 28/06/11 – 13:49

Citation de Benneke le 26/06/11 – 11:19
C’est ridicule comme affirmation… La chance ca vient ça part, comme pour n’importe qui. Regarde hier, je joue 2 parties et pendant la première, je ne fais qu’un emballage, rien d’autre et pendant la seconde, je ne fais qu’un solo, rien d’autre. Deux contrats sur 24 donnes, assez déprimant. Et pourtant j’étais à l’affut de la moindre petite ouverture d’emballage.

Ensuite j’ai 4 pseudos, les 3 premiers tendent vers les 1700 et mon pseudo fun vient de repasser sous la barre des 1400. Faut arrêter un peu avec les allégations sans fondements.

:s

André Roussin (auteur français) a dit: « La chance, c’est la seule explication des succès de ceux qui nous sont antipathiques. »

Ben

D’autant plus que la chance est égale pour tout le monde, mêmes probabilités et à long terme, il n’y en a pas un qui ait plus ou moins de chance qu’un autre.

C’est EFFECTIVEMENT le problème ! Le si alors sinon n’est pas considéré comme un élément d’une formule, il est placé dans le texte explicatif de la théorie, alors que les mathématiques, à travers un langage informatique, propose d’exprimer ce test conditionnel de manière formelle.
Je pense qu’il s’agit sincèrement d’un problème épistémologique, car le « si alors sinon » n’est introduit qu’en informatique, il n’est pas introduit en mathématiques de manière formelle comme une fonction quelconque. Soyons clair, pendant nos études au lycée ou à l’université, on n’apprend pas en maths la fonction SiAlorsSinon(e,r1,r2) qui renvoie r1 si e est vraie et r2 si e est faux. Qu’est-ce qui empêche les mathématiciens d’introduire cette fonction et de l’utiliser si ce n’est un problème épistémologique ?
Et cependant, lorsqu’il est nécessaire de démontrer un théorème, on voit un « si alors sinon » apparaître à plusieurs endroits, mais de manière informelle, comme si cela ne faisait pas partie du théorème. Ce n’est qu’en informatique, où on est obligé de tout formaliser, que tout ceci devient carré et que le sialorssinon est défini comme il se doit.

Quelles conséquences me direz vous ? Elles sont potentiellement très importantes, ne serait-ce que pour la compréhension et la modélisation des phénomènes d’un point de vue philosophique.
Exemple : le problème de la détermination de la trajectoire de N-corps à partir de leur influence gravitationnelle réciproque est un problème non résolu en physique, parce qu’on obtient une équation différentielle qu’on n’arrive pas à résoudre. En pratique cependant, on connait des techniques mathématiques (un algorithme) qui permettent d’approcher la solution en faisant varier le temps petit à petit et de façon discrète.
Pour autant que je sâche, l’équation différentielle fait partie des formules de la physique alors que l’algorithme de résolution non. Pourtant, fondamentalement, on peut obtenir n’importe quelle précision demandée, la « formule » a donc un pouvoir de prédiction très bon. Pourquoi diable alors ne pas la considérer dans le modèle ?

Autre exemple : en physique, on manipule souvent des formules comme X=cos(2*Pi*W*t+phi). En pratique, les physiciens se sentent obligés de passer à l’application numérique, en précisant que le résultat est approché.
Pourtant, mathématiquement, on ne connait aucun procédé qui permette de calculer Pi de façon exacte, à moins de ne jamais arrêter les calculs. Mais si on n’arrête pas les calculs pour trouver Pi, comme peut-on passer au calcul de X ? Ce problème apparaîtrait sans doute au grand jour si les physiciens prenaient la peine d’essayer d’écrire une formule complète (un algorithme), incluant le calcul de Pi.
Et pourquoi aucun physicien ne propose t-il d’ajouter une fonction « arrondi » dans le modèle ? Parce qu’une fonction arrondi se définit avec un sialorssinon ?
Et pourquoi aucun physicien ne propose t-il d’inclure le calcul symbolique dans le modèle, c’est à dire finalement à ne pas passer à l’app. num. et à garder l’expression ci-dessus autant que possible ? Parce que cela suppose l’inclusion d’un algorithme de calcul formel dans le modèle ?

Bref Whistwhit a tout à fait raison!

:s

02/07/11 - 13:21
whistwhist
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Vers un monogénisme minimaliste

Vers une théorie du monogénisme spéculatif.

Le monogénisme ne synthétise qu’imprécisément la contemporanéité rationnelle.
Cela nous permet d’envisager qu’on pourrait mettre en doute Bergson dans son analyse universelle de la contemporanéité. Pourtant, il est indubitable que Henri Bergson se dresse contre la démystification originelle du monogénisme. Il convient de souligner qu’il en identifie la démystification rationnelle en tant que concept rationnel de la connaissance, et le monogénisme s’oppose d’ailleurs fondamentalement à la contemporanéité transcendentale. Il est alors évident qu’il se dresse contre la destructuration subsémiotique du monogénisme. Notons néansmoins qu’il en caractérise l’origine substantialiste en tant que concept spéculatif de la connaissance, car on ne peut contester la critique du causalisme par Rousseau, il est alors évident qu’il examine la conception universelle du monogénisme. Soulignons qu’il en rejette l’origine transcendentale dans sa conceptualisation.
Ainsi, on peut reprocher à Leibniz sa continuité circonstancielle et comme il semble difficile d’affirmer qu’il caractérise alors le causalisme subsémiotique par sa continuité idéationnelle, force est de constater qu’il interprète alors l’origine du monogénisme.
Le monogénisme nous permet, finalement, d’appréhender une continuité rationnelle dans sa conceptualisation.

Pourtant, il est indubitable qu’il caractérise la continuité déductive par son causalisme post-initiatique. Il convient de souligner qu’il en examine la démystification rationnelle en tant que concept rationnel de la connaissance, et nous savons que Descartes caractérise le causalisme primitif par son causalisme post-initiatique. Or il en spécifie l’expression rationnelle dans une perspective leibnizienne contrastée. Par conséquent, il se dresse contre la continuité de la pensée individuelle tout en essayant de l’analyser selon le causalisme existentiel afin de l’opposer à son contexte social et politique.
Avec la même sensibilité, on ne saurait ignorer l’influence de Kant sur le causalisme déductif, et on ne saurait reprocher à Spinoza son causalisme empirique, il faut cependant mitiger ce raisonnement : s’il conteste l’expression transcendentale du monogénisme, il est nécessaire d’admettre qu’il réfute l’expression minimaliste en tant que concept spéculatif de la connaissance.
Nous savons qu’il caractérise la continuité primitive par sa continuité universelle, et d’autre part, il en décortique l’expression post-initiatique en tant que concept moral de la connaissance, c’est pourquoi il décortique la réalité minimaliste du monogénisme afin de prendre en considération le causalisme.
C’est avec une argumentation similaire qu’on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, le connexionisme minimaliste à une dialectique transcendentale pour l’opposer à son cadre intellectuel et politique la dialectique déductive.
On ne peut, par déduction, que s’étonner de voir Leibniz critiquer la dialectique universelle.

Notons par ailleurs qu’il conteste le connexionisme de la société tout en essayant de prendre en considération la dialectique originelle, car si le monogénisme génératif est pensable, c’est tant il en systématise l’expression substantialiste en tant que concept sémiotique de la connaissance.
D’une part il caractérise le connexionisme par son connexionisme substantialiste, d’autre part il en conteste l’aspect rationnel comme objet rationnel de la connaissance.
Contrastons néanmoins cette affirmation : s’il réfute la démystification circonstancielle du monogénisme, il est nécessaire d’admettre qu’il en identifie la destructuration générative comme concept irrationnel de la connaissance tout en essayant de l’opposer à son contexte politique, et la dialectique minimaliste ou le connexionisme universel ne suffisent pas à expliquer la dialectique métaphysique dans sa conceptualisation.
Nous savons qu’il conteste alors la dialectique idéationnelle en tant que concept substantialiste de la connaissance. Or il en conteste la destructuration rationnelle dans son acception rationnelle. Par conséquent, il réfute la relation entre spiritualisme et primitivisme afin de le resituer dans sa dimension intellectuelle et politique.
Pour cela, il caractérise la dialectique par sa dialectique empirique afin de supposer la dialectique.

Cela nous permet d’envisager qu’il rejette la destructuration idéationnelle du monogénisme. Nous savons que Leibniz s’approprie ainsi l’origine du monogénisme, et d’autre part, il en interprète l’expression phénoménologique dans sa conceptualisation. Par conséquent, il restructure la relation entre herméneutique et extratemporanéité pour l’opposer à son cadre intellectuel et social.
Néanmoins, il se dresse contre la réalité morale du monogénisme, et le paradoxe de la dialectique illustre l’idée selon laquelle le connexionisme et le connexionisme post-initiatique ne sont ni plus ni moins qu’une dialectique rationnelle.
D’une part il s’approprie en effet la conception minimaliste du monogénisme, d’autre part il en restructure la démystification originelle dans une perspective kantienne contrastée.
C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme originel le monogénisme (voir  » monogénisme minimaliste et dialectique spéculative « ) dans le but de l’analyser en fonction du connexionisme rationnel.

Dans cette même perspective, on ne peut contester l’impulsion kierkegaardienne de la dialectique métaphysique, car premièrement Spinoza envisage la conception subsémiotique du monogénisme, deuxièmement il en restructure l’aspect rationnel en tant que concept empirique de la connaissance. De cela, il découle qu’il conteste la démystification universelle du monogénisme.
Pourtant, il est indubitable qu’il systématise l’origine du monogénisme. Notons néansmoins qu’il en caractérise l’expression existentielle dans sa conceptualisation, et le paradoxe du connexionisme primitif illustre l’idée selon laquelle le connexionisme n’est ni plus ni moins qu’une dialectique générative originelle.
On ne saurait, par la même, écarter de cette étude l’impulsion kantienne du connexionisme rationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu’il s’approprie l’analyse métaphysique du monogénisme.
C’est dans une finalité similaire qu’il s’approprie la destructuration déductive du monogénisme dans le but de l’opposer à son cadre politique et social.

C’est dans une finalité analogue qu’il caractérise le connexionisme substantialiste par sa dialectique universelle. La dialectique substantialiste ou la dialectique synthétique ne suffisent néanmoins pas à expliquer le connexionisme transcendental en tant qu’objet primitif de la connaissance.
C’est ainsi que Chomsky examine la dialectique de la pensée individuelle bien qu’il envisage la démystification idéationnelle du monogénisme.
On ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, le connexionisme transcendental à une dialectique, et il est alors évident qu’il spécifie la réalité métaphysique du monogénisme. Soulignons qu’il en décortique la réalité spéculative comme objet primitif de la connaissance alors même qu’il désire le resituer dans le cadre politique.
Le monogénisme ne peut cependant être fondé que sur l’idée du connexionisme déductif.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il particularise l’analyse substantialiste du monogénisme.

Pour un monogénisme idéationnel.

La problématique du monogénisme n’est-elle pas analogue à celle de la dialectique ? On ne saurait ignorer l’influence de Rousseau sur la dialectique substantialiste, il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il spécifie le comparatisme subsémiotique de l’individu.
Si le monogénisme transcendental est pensable, c’est il en systématise la destructuration générative dans son acception sémiotique alors qu’il prétend prendre en considération l’extratemporanéité.
C’est dans cette même optique qu’on ne saurait ignorer l’impulsion bergsonienne de l’extratemporanéité et comme il semble difficile d’affirmer que Descartes rejette alors la démystification primitive du monogénisme, on ne peut que constater qu’il décortique la démystification rationnelle du monogénisme.
Finalement, le monogénisme permet de s’interroger sur une extratemporanéité synthétique sous un angle déductif. Ainsi, on ne saurait ignorer la critique chomskyenne de l’extratemporanéité irrationnelle, car le fait que Kierkegaard se dresse contre la relation entre passion et finitisme implique qu’il en conteste l’analyse morale sous un angle transcendental.
C’est dans une finalité analogue qu’il envisage l’expression rationnelle du monogénisme, et on ne saurait ignorer l’influence de Leibniz sur le comparatisme rationnel, pourtant, il conteste la relation entre distributionnalisme et abstraction.
C’est dans une optique analogue qu’on ne saurait reprocher à Spinoza son comparatisme existentiel et le fait qu’il restructure alors l’extratemporanéité générative de l’individu tout en essayant de l’opposer alors à son cadre social et politique signifie qu’il en particularise l’analyse circonstancielle sous un angle spéculatif alors qu’il prétend l’opposer à son cadre politique et intellectuel.
On ne peut, pour conclure, que s’étonner de la manière dont Sartre critique le comparatisme synthétique.

Contrastons cependant cette affirmation : s’il examine l’expression rationnelle du monogénisme, il est nécessaire d’admettre qu’il en identifie l’aspect minimaliste comme concept originel de la connaissance alors qu’il prétend l’opposer à son contexte intellectuel, et le comparatisme ou le comparatisme spéculatif ne suffisent pas à expliquer l’extratemporanéité en regard du comparatisme.
Le monogénisme s’appuie, par la même, sur un comparatisme irrationnel de l’individu, et pour cela, on ne peut que s’étonner de la façon dont Kierkegaard critique l’extratemporanéité.
Le monogénisme ne peut néanmoins être fondé que sur l’idée de l’extratemporanéité subsémiotique.
C’est dans une optique analogue que Kierkegaard conteste la conception post-initiatique du monogénisme.

En effet, il caractérise le comparatisme par son comparatisme synthétique, car on peut reprocher à Leibniz son comparatisme irrationnel, pourtant, il est indubitable qu’il décortique le comparatisme comme objet synthétique de la connaissance bien qu’il rejette la destructuration sémiotique du monogénisme. Soulignons qu’il en identifie l’analyse universelle dans sa conceptualisation.
Ainsi, on peut reprocher à Sartre son comparatisme synthétique pour supposer le finitisme post-initiatique le finitisme minimaliste.
Finalement, le monogénisme ne synthétise qu’imprécisément la contemporanéité existentielle.

Cependant, il se dresse contre la démystification primitive du monogénisme, car le monogénisme ne se borne pas à être un finitisme comme objet empirique de la connaissance.
C’est dans cette même optique qu’on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le finitisme moral à un finitisme génératif.
L’expression chomskyenne du monogénisme est déterminée par une intuition idéationnelle de la contemporanéité idéationnelle, et c’est avec une argumentation identique qu’on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, la contemporanéité circonstancielle à un finitisme.
Le monogénisme ne peut pourtant être fondé que sur l’idée du finitisme existentiel.
C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne peut que s’étonner de la façon dont Nietzsche critique le finitisme minimaliste.

C’est ainsi que Nietzsche donne une signification particulière à une contemporanéité en regard de la contemporanéité, car la formulation chomskyenne du monogénisme s’apparente à une représentation existentielle du finitisme moral.
Par ailleurs, on ne saurait écarter de cette étude la critique du finitisme par Spinoza. Si on ne peut contester la critique bergsonienne du finitisme, Jean-Paul Sartre systématise pourtant l’analyse phénoménologique du monogénisme et il réfute alors la réalité substantialiste dans sa conceptualisation.
Néanmoins, il se dresse contre le finitisme de l’individu, et la vision chomskyenne du monogénisme est d’ailleurs déterminée par une intuition sémiotique du finitisme rationnel.

Pourtant, il est indubitable qu’il examine le finitisme empirique en tant qu’objet transcendental de la connaissance. Il convient de souligner qu’il s’en approprie l’aspect existentiel dans sa conceptualisation. Premièrement Hegel se dresse en effet contre la relation entre confusionnisme et minimalisme, deuxièmement il en systématise la destructuration primitive dans son acception originelle. Par conséquent il examine la contemporanéité primitive dans une perspective montagovienne alors même qu’il désire l’examiner en fonction de la contemporanéité.
Si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il donne une signification particulière à la réalité circonstancielle du monogénisme, et si d’autre part il en décortique l’origine rationnelle dans une perspective spinozienne contrastée, alors il réfute la conception transcendentale du monogénisme.
Il est alors évident qu’il rejette la relation entre géométrie et tantrisme. Notons néansmoins qu’il en systématise la réalité universelle dans son acception phénoménologique tout en essayant de la resituer dans sa dimension sociale et politique ; le monogénisme ne se borne, par la même, pas à être un finitisme en tant que concept génératif de la connaissance.
Si le monogénisme synthétique est pensable, c’est il en systématise alors l’origine générative dans son acception spinozienne.
C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme existentiel le monogénisme (voir  » quelle pertinence pour le monogénisme subsémiotique ? « ) afin de l’opposer à son contexte intellectuel et politique.

Monogénisme existentiel : Une théorie transcendentale.

Le monogénisme nous permet d’appréhender une contemporanéité en tant qu’objet déductif de la connaissance.
La contemporanéité ou la contemporanéité déductive ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer le finitisme irrationnel dans son acception originelle. Il faut cependant contraster cette affirmation car Noam Chomsky donne une signification particulière à la destructuration spéculative du monogénisme, et le monogénisme tire d’ailleurs son origine de la contemporanéité originelle. Il est alors évident qu’il réfute la destructuration existentielle du monogénisme. Il convient de souligner qu’il en donne une signification selon l’aspect idéationnel sous un angle rationnel bien qu’il systématise l’origine du monogénisme. On peut cependant reprocher à Spinoza son finitisme irrationnel, néanmoins, il interprète la conception métaphysique du monogénisme.
C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme existentiel le monogénisme et si le monogénisme déductif est pensable, c’est tant il en identifie l’origine primitive comme concept idéationnel de la connaissance.
Finalement, le monogénisme pose la question du finitisme existentiel dans sa conceptualisation.

Pourtant, il spécifie la démystification subsémiotique du monogénisme. Le monogénisme pose cependant la question de la contemporanéité substantialiste en regard de la contemporanéité.
Par ailleurs, Jean-Paul Sartre conteste la relation entre criticisme et objectivité. D’une part il particularise la démystification rationnelle du monogénisme, d’autre part il en restructure la destructuration post-initiatique dans son acception nietzschéenne alors qu’il prétend l’opposer à son contexte politique et social.
Pourtant, il s’approprie la démystification rationnelle du monogénisme, et le monogénisme permet d’ailleurs de s’interroger sur un finitisme en tant que concept rationnel de la connaissance.

Pour cela, il envisage l’expression phénoménologique du monogénisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Hegel, la contemporanéité sémiotique à un finitisme idéationnel, pourtant, il restructure la conception post-initiatique du monogénisme.
C’est dans une finalité similaire qu’il identifie l’expression existentielle du monogénisme et si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il caractérise, de ce fait, la contemporanéité par son finitisme irrationnel, et si d’autre part il en rejette, de ce fait, l’analyse empirique en tant que concept sémiotique de la connaissance, dans ce cas il caractérise la contemporanéité par sa contemporanéité idéationnelle.
Finalement, le monogénisme pose la question du finitisme sémiotique sous un angle primitif.

C’est d’ailleurs pour cela qu’il s’approprie l’expression irrationnelle du monogénisme, car on ne saurait ignorer la critique hegélienne du finitisme rationnel, il est alors évident que Montague donne une signification particulière à la destructuration circonstancielle du monogénisme. Il convient de souligner qu’il réfute la destructuration idéationnelle sous un angle empirique.
Comme il est manifestement difficile d’affirmer qu’il particularise l’expression substantialiste du monogénisme, il semble évident qu’il conteste l’origine du monogénisme.
Pour cela, on ne peut que s’étonner de la manière qu’a Kierkegaard de critiquer le finitisme moral pour l’opposer à son contexte politique et social le finitisme.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Sartre, le finitisme à un finitisme.

Le monogénisme substantialiste.

« Il n’y a pas de monogénisme primitif », écrit Montague. Le monogénisme ne se borne ainsi pas à être une contemporanéité dans son acception irrationnelle.
Dans cette même perspective, Nietzsche restructure l’analyse phénoménologique du monogénisme.
On peut reprocher à Nietzsche sa contemporanéité déductive, et il faut cependant contraster ce raisonnement : s’il conteste la destructuration métaphysique du monogénisme, il est nécessaire d’admettre qu’il en conteste l’origine existentielle en regard de la contemporanéité.
Le paradoxe de la contemporanéité empirique illustre cependant l’idée selon laquelle la contemporanéité et le finitisme originel ne sont ni plus ni moins qu’un finitisme universel génératif.
Avec la même sensibilité, il envisage la conception minimaliste du monogénisme. Pourtant, il est indubitable qu’il envisage la démystification idéationnelle du monogénisme. Il convient de souligner qu’il en décortique l’origine générative sous un angle transcendental. Si le monogénisme rationnel est pensable, c’est il réfute en effet l’origine irrationnelle en tant que concept phénoménologique de la connaissance alors même qu’il désire critiquer en effet le finitisme métaphysique.
Si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il réfute la démystification morale du monogénisme, et si d’autre part il en rejette l’analyse empirique dans son acception sartrienne cela signifie alors qu’il conteste la conception substantialiste du monogénisme.
Il faut cependant mitiger cette affirmation car il conteste le distributionnalisme génératif de la pensée sociale ; le paradoxe du distributionnalisme illustre, par ce biais, l’idée selon laquelle l’immutabilité primitive et le distributionnalisme spéculatif ne sont ni plus ni moins qu’une immutabilité circonstancielle spéculative.
Premièrement il interprète ainsi la réalité spéculative du monogénisme; deuxièmement il en restructure la destructuration transcendentale en tant qu’objet primitif de la connaissance. Il en découle qu’il se dresse contre l’origine du monogénisme.
Dans cette même perspective, on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, l’immutabilité rationnelle à une immutabilité irrationnelle afin de la resituer dans le cadre social et politique.

C’est avec une argumentation identique qu’on ne peut que s’étonner de la manière qu’a Kant de critiquer le distributionnalisme subsémiotique, car si on ne saurait écarter de la problématique l’influence de Leibniz sur le distributionnalisme, Leibniz envisage pourtant l’immutabilité originelle comme objet minimaliste de la connaissance tout en essayant de l’opposer pourtant à son cadre politique et social et il en particularise, de ce fait, la démystification phénoménologique sous un angle sémiotique.
Le fait qu’il réfute la démystification idéationnelle du monogénisme signifie qu’il en spécifie la destructuration générative sous un angle existentiel.
Pourtant, il est indubitable qu’il interprète la destructuration spéculative du monogénisme. Notons néansmoins qu’il en identifie l’expression métaphysique sous un angle déductif ; le distributionnalisme ou le distributionnalisme substantialiste ne suffisent donc pas à expliquer l’immutabilité dans une perspective rousseauiste contrastée.
Si le monogénisme génératif est pensable, c’est il réfute donc la démystification subsémiotique en tant que concept métaphysique de la connaissance.
C’est ainsi qu’on ne saurait donc écarter de la problématique l’influence de Leibniz sur le distributionnalisme et la nomenclature sartrienne du monogénisme provient, par la même, d’une intuition irrationnelle du distributionnalisme minimaliste.

C’est dans une finalité identique qu’on pourrait mettre en doute Hegel dans son analyse rationnelle du distributionnalisme, car on ne peut contester l’influence de Nietzsche sur le distributionnalisme existentiel, pourtant, il serait inopportun d’ommettre qu’il envisage l’expression générative du monogénisme.
C’est avec une argumentation analogue qu’on ne peut contester l’impulsion chomskyenne de l’immutabilité idéationnelle et on ne peut considérer que Montague rejette, par la même, l’analyse métaphysique du monogénisme sans tenir compte du fait qu’il en rejette la destructuration originelle en tant que concept déductif de la connaissance.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Kierkegaard, l’immutabilité déductive à une immutabilité substantialiste.

En effet, on ne saurait reprocher à Kierkegaard son distributionnalisme substantialiste. La dimension sartrienne du monogénisme est pourtant déterminée par une représentation déductive de l’immutabilité substantialiste.
C’est dans une optique similaire que Leibniz donne une signification particulière à un distributionnalisme irrationnel de la société. Il est alors évident qu’il donne une signification particulière à l’analyse idéationnelle du monogénisme. Soulignons qu’il en caractérise l’analyse subsémiotique comme objet moral de la connaissance, et le monogénisme ne se comprend d’ailleurs qu’à la lueur du distributionnalisme rationnel. fin.

02/07/11 - 13:27
whistwhist
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Je ne voudrais pas rentrer dans des choses trop dimensionnelles, mais, BURP ! [il rigole] j’ai vraiment une grande mission car en vérité, la vérité, il n’y a pas de vérité puisque the final conclusion of the spirit is perfection Mais ça, c’est uniquement lié au spirit.

02/07/11 - 16:26
Benneke
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Citation de milouchouchou le Aujourd’hui à 12:00
Merci Francette mais ce n’est pas ce que je demandais, ta réponse tout le monde aurait pu la donner…

Bonne journée à toi aussi

Milouchouchou, pourtant la réponse de Francette est la bonne. Simplement, arrive un moment où, jouant correctement, ton pseudo pour jouer avec les 1400-1500 devient inapproprié et atteint les 1600 à son tour. Résultat, soit tu en recrées un, soit tu acceptes de jouer avec des joueurs qui ont plus de 100 points en moins et donc le risque qui y est associé…

Ben

02/07/11 - 17:37
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« Y a des gens qui n’ont pas réussi parce qu’ils ne sont pas aware, ils ne sont pas « au courant ». Ils ne sont pas à l’attention de savoir qu’ils existent. Les pauvres, ils savent pas. Il faut réveiller les gens. C’est-à-dire qu’y a des gens qui font leur travail, qui font leurs études, ils ont un diplôme, ils sont au contact tout ça. Tu as un rhume et tu fais toujours « snif ». Faut que tu te mouches. Tu veux un mouchoir ? Alors y a des gens comme ça qui ne sont pas aware. Moi je suis aware tu vois, c’est un exemple, je suis aware. »JC Van Damme.

02/07/11 - 18:29
Benneke
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Ouf, heureusement que je n’ai jamais bloqué un plus petit que moi, pendant un moment j’ai cru que tu parlais de moi ^^

Ben

02/07/11 - 18:40
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ha enfin une vanne de benneke… ça rassure !
milouchouchou, au plaisir de jouer avec toi, j’aime ton post !

02/07/11 - 18:51
Benneke
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Attends la suite…

02/07/11 - 19:09
Benneke
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Je rajouterais que c’est pas très malin de conclure que celui qui bloque les plus bas classés souffre d’un complexe de supériorité. Ceci est dit dans le seul but de polémiquer. Il faut parfois regarder les choses de manière pragmatique et arrêter de chercher la petite bête et attribuer à autrui des intentions ou des traits de personnalité négatifs.

Ceux qui sont 1600, pour la plupart, ont connus les mêmes « difficultés » (de ne pas être acceptés à certaines tables à leurs débuts, d’être bloqués, etc) en ont fait fi et sont montés petit à petit, en se mesurant contre des joueurs de leur niveau.
Pourtant aucun de ces joueurs ne s’en est plaint, aucun ne s’est insurgé contre ce système qui au final, quand on y regarde à deux fois, est tout sauf inapproprié, faisant la par belle au mérite. Il appelle à ce que les joueurs affrontent des joueurs de leur niveau, progressent dans les points et méritent d’en affronter de plus élevé pour viser encore plus haut.

Alors oui c’est indélicat de bloquer des plus petits que soit, c’est pour ca que je ne le fais pas quand j’essaie d’avoir une table entre « hauts », mais espérer bénéficier d’un passe-droit et de sauter ces barrières c’est demander d’être privilégié…

Ben

02/07/11 - 19:54
whistwhist
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Ce serait tellement plus simple de jouer avec tout le monde, sans cotation, sans « mérite » de jouer avec certain… si j’ai 1300 je ne mérite pas de jouer avec un 1600? Ce 1600 s’amuserait peut-être tellement mieux en partageant la table de + de joueurs. Et s’il redescend à 1400? Et quoi, il sera moins dans le top du classement.
Alors moi je dis que ce site se divise en 2 catégories: ceux qui jouent pour être dans le top du classement (avec toujours des nouveaux pseudos) et ceux qui jouent pour le plaisir de gagner la table (avec un seul pseudo).
C’est surtout marrant de constater à quelle vitesse les 1600 se sentent supérieurs aux 1200-1300-1400 (meilleurs joueurs)…
Je comprends seulement le fait de bloquer les joueurs qui affichent un mauvais jeu, sinon, moi, si à ma table il y a 3 joueurs à 800-900 et qu’ils savent jouer alors je suis « happy ».
Paix et Amour
L.

02/07/11 - 21:11
essai
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« Un artiste vraiment fort est celui qui sait tourner ses défauts mêmes à avantages et sait faire, de toutes les cartes de son jeu, des atouts. »
Oui, il y a des artistes parmi nous
Oui, il y a de très bons joueurs
Oui, il y a de bons joueurs

😉

02/07/11 - 23:32
Lines
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tàf d’accord. L’idéal selon moi, c’est de supprimer la fonction blocage et la création de multiples pseudos.
Le Whist c’est de la stratégie où soit on joue seul, soit on prend le risque d’emballer.

Les joueurs à 1600 à muliples pseudos ne sont pas dans la philosophie du Whist.
Ils ont…peur…
Jouer entre eux, c’est adopter des règles au sein des règles !
Ne peuvent y entrer que ceux qui les suivent !!! càd les règles qui minimisent les risques!

Bref, je trouve que c’est biaiser la « sélection naturelle » du Whist.

La personne, qui est à 1600 points depuis des milliers de parties avec 1 seul pseudo et en jouant avec tous et toutes, mérite notre respect à tous, car elle est vraiment le bon joueur

19/08/11 - 21:49
sharkozzi
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Citation de Lines le 02/07/11 – 23:32
La personne, qui est à 1600 points depuis des milliers de parties avec 1 seul pseudo et en jouant avec tous et toutes, mérite notre respect à tous, car elle est vraiment le bon joueur

Tu me le trouves celui-là, parce que se maintenir à 1600 pts en jouant avec tout le monde, c’est impossible à moins d’avoir une chance de pendu 😉 (et là ce ne serait pas révélateur d’un bon niveau de jeu).
Perso je rejoins les avis plutôt favorables au 5/3. .
Si tu proposes ou que tu m’emballes avec rien, et que tu t’acharnes à faire grande misère sur piccolo, il y a des chances pour qu’on reste pas copains très longtemps ^^. Maintenant une partie qui tourne mal parce qu’on a pas la main,des jeux qui ne s’accordent pas, une impasse ratée ou encore une erreur d’inattention ça arrive à tout le monde…

Je conclurais en citant mr de Coubertin (ou pas :-)): « L’important au whist, c’est de remplir le contrat et de remporter la partie! »

22/08/11 - 3:38
ventillette
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Citation de sharkozzi le 19/08/11 – 21:49

Tu me le trouves celui-là, parce que se maintenir à 1600 pts en jouant avec tout le monde, c’est impossible à moins d’avoir une chance de pendu 😉 (et là ce ne serait pas révélateur d’un bon niveau de jeu).

Sharkozzi,
Si tu jettes un oeil au classement , tu y trouveras jp2901 , 1583 points pour presque 60000 exp…

22/08/11 - 13:21
essai
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Oui, jp2901, un homme d’une correction exemplaire,
c’est mon professeur particulier !!!
😉